5. CONCLUSION

5. CONCLUSION

Le maintien de la diversité biologique constitue un problème global qui doit être traité à l'échelle de la biosphère, à partir de directives internationales. Ce sont de ce fait les agences internationales concernées qui seront les plus compétentes pour mettre en oeuvre ces décisions. L'adoption du principe de copropriété intergénérationnelle du patrimoine naturel proposé par C. Henry (1990) semble à ce propos particulièrement réaliste. Il conviendrait, en effet, d'intégrer dans tout calcul économique le principe que le patrimoine naturel appartient à la fois aux générations actuelles et futures, afin d'établir des normes et d'évaluer les décisions en matière d'environnement.